(Photo A65 Aliénor)

Comme prévue, l'ouverture de l'autoroute entre Pau et Bordeaux aura lieu le jeudi 16 décembre, permettant de rapprocher les deux villes en deux heures de voiture.

Reste à savoir si le tarif de 21,90€ l'aller ne rebutera pas trop les usagers qui pourraient préférer le train (avec les cartes de réduction Aquitaine), même si l'augmentation annoncée par le gouvernement des prix des billets devrait arriver début 2011.

Une bonne nouvelle ceci dit pour les familles, notamment bordelaises, qui pourront plus rapidement rallier les stations de ski.

Débutées ce samedi, les activités organisées par la ville à l’occasion des fêtes de fin d’année auront lieu jusqu’au 31 décembre. Des animations surtout familiales, souvent destinées aux enfants. Mais de l’originalité aussi avec de nombreux styles musicaux. Les concerts auront lieu pour la plupart les samedis et dimanches entre 15h et 18h, excepté les deux semaines de Noël et du nouvel an où ils seront quotidiens.

Plusieurs animations des acteurs de notre terroir prendront place, avec notamment deux dégustations gratuites de garbure les jeudis 23 et 30 décembre, entre 17h et 19h, place de la Libération, préparées par l’association salisienne La Pédère.

A noter que les commerces du centre-ville de Pau seront ouverts les dimanche 12 et 19 décembre.

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Nous vous avons déjà parlé des réseaux sociaux sur le blog, et son importance grandissante. L’ESC Pau organise ce mardi une conférence sur le sujet, preuve de l’intérêt que porte de plus en plus le monde de l’entreprise sur le phénomène.

La conférence aura donc lieu dans l’amphi 300 de l’ESC PAU le 7 décembre, à partir de 18h30.

Une table ronde organisée par M. CUEVAS, avec des invités venus de VIADEO, l’APEC, RH PARTNERS PAU, LECTIA TOULOUSE et TURBOMECA.

Un rapport de 2009 annonçait 41% de « mobinautes » en 2014. Une étude plus récente, publiée par le Cabinet PricewaterhouseCoopers (juin 2010) propose des prévisions à la baisse (et sans doute plus réalistes). Selon lui, toujours en 2014, plus d’un français sur quatre pourra être qualifié de mobinaute. Cela représente tout de même un potentiel de 18 millions de clients. Un marché à ne pas sous-estimer que l’on soit fabricant de téléphones, opérateur téléphonique ou créateur d’applications et de contenu.

Il est possible depuis plusieurs années d’accéder à du contenu en ligne depuis son téléphone portable. Mais l’utilisation d’un clavier minuscule n’est pas optimale d’un point de vue ergonomique. C’est avec l’arrivée d’écrans plus larges, mieux définis, et surtout tactiles que l’expérience web mobile devient agréable, pouvant même se substituer à notre ordinateur. Et c’est encore plus l’avènement de l’Iphone qui permet de stabiliser le monde du smartphone. Les chiffres de ce début d’année, sur le marché français, chez GFK indiquent que si Apple se place en 5^ème position parmi les fabricants (derrière Samsung, Nokia et LG notamment), il constitue 50% de parts de marché en valeur ! Il faut dire que les prix de vente du modèle phare de la firme à la pomme n’y est pas étranger.

Il ne faut donc pas compter sur Apple pour démocratiser le smartphone, mais davantage sur les concurrents qui s’essayent à la création de l’ « Iphone-killer », Microsoft ayant récemment fait le buzz sur ce marché avec son système d’exploitation Windowsphone 7, pour concurrencer Ios 4 et Android principalement. L’avenir se joue donc autant sur le smartphone dans son état matériel que sur le système d’exploitation utilisé, et par conséquent son ergonomie et sa simplicité d’utilisation. Néanmoins le bombardement médiatique d’Apple, notamment sa campagne de pub télé, en fait le fer de lance de l’industrie.

La démocratisation se jouera aussi sur les tarifs pratiqués par les opérateurs téléphoniques (Orange, SFR, Bouygues Telecom et peut-être bientôt Free) qui proposent tous des forfaits illimités (même si l’illimités ne l’est pas toujours pour préserver la fluidité du réseau) en Internet, et en Sms au détriment des forfaits « voix » (c’est-à-dire les appels téléphoniques). La concurrence de ces trois (quatre ?) opérateurs sera sans doute bénéfique au client, et donc au parc de smartphones.

En France, les ventes de smartphones représentent 16% des ventes totales de téléphones, et sont d’abord plébiscités par les professionnels, mais également par les 12-39 ans (Chiffres TNS SOFRES). Enfin 52% des personnes interrogées indiquent que le smartphone a déjà changer leur quotidien et 66% estiment que « le smartphone va changer leur façon de vivre de manière importante dans les dix prochaines années » 

A l’heure actuelle on pourrait croire que les smartphones, avec leurs dizaines de milliers d’applications gratuites ou payantes, savent déjà tout faire (excepté le café, évidemment !), le tout étant de savoir si cela ne relève que de l’effet de mode, ou si ces nouvelles habitudes vont continuer à s’ancrer petit-à-petit dans notre quotidien, jusqu’à en devenir banales. Pour le savoir, le mieux est de suivre la croissance de la courbe des investissements publicitaires réalisés sur ce secteur.

Selon une étude d’Ineum Consulting sur le marché français, le potentiel publicitaire est clairement inexploité puisqu’il ne représente qu’un petit pourcent des budgets de communication, tandis que le taux de pénétration des mobiles est de 119% (plus d’un téléphone par habitant). Un outil lancé par Médiamétrie va permettre de mesurer avec précision l’audience réelle des publicités sur les OS (Operating System = Systèmes d’exploitation) mobiles, ce qui devrait conforter les investissements. A noter qu’un possesseur de smartphone serait deux fois plus exposé aux publicités qu’aux utilisateurs « classiques ».

Ainsi, selon Informa, et sur le marché mondial cette fois, les investissements publicitaires sur OS mobiles qui étaient de 2,3 milliards de dollars en 2009 devraient passer à 24 milliards en 2015 (boosté par l’essor du marché asiatique). Preuve que ce marché ne devrait pas simplement relever d’un simple effet de mode éphémère.

Google, le leader des moteurs de recherche s'est offert un spot TV d'une minute, dimanche dernier, sur TF1, juste avant la diffusion de "Bienvenue chez les Chtis", qui passait pour la première fois à la télévision gratuite (hors Canal+).

La Vidéo

Le coût de diffusion du spot (il est extrêmement rare de voir des spots TV de cette durée) aura été de 300 000€ pour le groupe. Bonne pioche puisque le film, qui avait déjà explosé les records de spectateurs en salle, a réuni dimanche soir 14,4 millions de personnes. La meilleure audience de l'année en France loin devant Astérix et les Jeux Olympiques (10 millions) et Ratatouille (8 millions). Ce qui représentait également 51% de part de marché lors de sa diffusion.TF1 avait d'ailleurs prévu le coup en faisant payer aux divers annonceurs 150 000€ les 30 secondes de publicité.

Google cherche donc à asseoir sa position de quasi monopole puisque parmi les internautes français, il était le moteur de recherche préféré pour 91,6% d'entre eux au mois d'octobre 2010, devant Bing 2,8% et Yahoo 1,6% (Source Baromètre AT Internet Institute).

Une publicité décalée qui crée le buz sur la toile!

Commençons par une définition, celle proposée par Wikipédia, même si la qualité des articles Wiki est parfois source de débats :

« Le marketing digital est une discipline visant à faire la promotion de produits et services en utilisant un média ou un canal de communication digital pour atteindre les consommateurs d'une manière personnelle, ultra ciblée et interactive pour un coût raisonnable. »

Par canal de communication digital, on entend tous les outils accessibles par Internet (bandeau publicitaire, web 2.0, blogs, forums, vidéos, etc…) mais aussi et de manière plus minoritaire les applications pour téléphones portables et les apparitions d’une marque dans un jeu vidéo.

Ici c’est davantage la communication sur Internet, plus utilisée aujourd’hui, et surtout proposant un panel beaucoup plus large de possibilités, qui nous intéresse. Il est surtout amusant de noter que ce qui était encore récemment considéré comme un simple moyen de communication supplémentaire dans le milieu du marketing, et relégué derrière les habituels médias (télévision, presse, radio, affichage) fait de plus en plus partie de la stratégie des marques.

Le marketing et la communication sur Internet ont des intérêts évidents :

· Moins coûteux puisque la création d’un site web dédié, la location d’un panneau publicitaire, ou l’optimisation du référencement sont toujours moins onéreux que les campagnes traditionnelles.

· Mieux cibler puisqu’il est assez simple de viser spécifiquement des consommateurs-types, et ainsi de rentabiliser son investissement.

· Plus qu’un intérêt, il devient même indispensable pour une marque de gérer sa renommée sur Internet. Avec l’avènement du Web 2.0 depuis les années 2004-2005, chaque internaute peut facilement valoriser ou au contraire détruire une marque sur un blog, un forum, un commentaire sur un site. Les entreprises et marques vont donc devoir de plus en plus savoir gérer leur identité et leur réputation sur le web et sur les réseaux sociaux. C’est d’ailleurs la principale mission du Community Manager (qui fera l’objet d’un futur article).

· Un potentiel non exploité et des possibilités créatives importantes pour se démarquer.

Mais Internet est aussi victime de son succès. Un fouillis de sites, d’informations (196 millions de sites recensés par Google dans le monde au milieu de l’année, sans compter les blogs, pages facebook, etc…) dans le quel il faut savoir se sortir pour être visible et entendu : une stratégie globale de communication, l’optimisation du référencement et une gestion active et permanente de son e-réputation.

Stéphanie et Jean-Mi vous accueillent du lundi au samedi au restaurant
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14 rue Latapie
64000 PAU

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(L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. Boire avec modération)

La mise en service de l’autoroute A65 est prévue pour cette fin d’année (avant le 20 décembre). Le projet, réalisé par A’LIENOR aura coûté 1,2 milliards d’euros, pour une durée totale de travaux de 46 mois. D’après le site A’LIENOR, cette construction de 150km de long, reliant Pau à Bordeaux, en passant par Mont-de-Marsan aura nécessité la participation de 2000 personnes.

Le projet présente évidemment des intérêts économiques pour la région, mais permettra également de renforcer la sécurité sur cet axe routier. La route Pau-Langon a en effet été à l’origine de 325 accidents (provoquant le décès de 48 personnes) sur les cinq dernières années, avec le passage par plusieurs agglomérations.

Quelle conséquence pour l’économie béarnaise ?

Comme vu précédemment, il y a déjà eu plusieurs créations d’emploi pour la durée des travaux dont un nombre inconnu fait partie du bassin béarnais. Mais ces créations ne sont que temporaires.

A long terme, il s’agit de désenclaver Pau qui se trouve, par les routes traditionnelles à 2h30 de Bordeaux, alors qu’une heure de moins suffit à rejoindre Toulouse. C’est donc d’abord un enjeu majeur dans l’aménagement du territoire, à l’échelle aquitaine. Les liaisons A64-A65 permettront de créer des synergies logistiques, en gagnant en efficacité et donc en coûts.

L’aspect touristique n’est pas à négliger. L’autoroute permettra aux stations de ski à proximité de Pau d’être plus accessibles aux habitants de la Gironde, mais également aux régions au nord de Bordeaux, telles que le Poitou-Charentes ou le Limousin. Il sera plus facile d’envisager un aller-retour dans la journée que jusqu’à maintenant.

Il ne faudra toutefois pas négliger le tarif de cette autoroute qui devrait être la plus chère de province. Comptez près d’une vingtaine d’euros pour rallier en une cinquantaine de minutes de moins les deux plus grandes villes d’Aquitaine. En effet, la société en charge du projet n’a bénéficié que d’une infime aide de l’Etat, en contrepartie de quoi elle maintiendra des tarifs élevés pour rémunérer les divers actionnaires de la construction, avec un droit de concession de 60 années.

Plus de détails sur le projet : http://www.a65-alienor.com/index.php

L’Observatoire des Usages Internet vient de publier une étude annonçant les derniers chiffres concernant les ventes en ligne sur Internet (Médiamétrie/FEVAD*), sur la base de 73 000 sites. Ainsi, avec 27 millions d’acheteurs uniques, ce sont près d’un français sur deux qui ont déjà passé le pas de l’achat sur un site de vente, soit une augmentation de 18% sur l’année écoulée. Sur la base de cent internautes, 73 auraient par ailleurs déjà effectué un achat sur Internet.

Sur le troisième trimestre 2010, c’est une évolution de 22% qui a été notée, soit 81 millions de transactions pour un panier moyen de 92€ et une dépense totale sur le trimestre de 373€ par utilisateur.

Les prévisions de vente pour la période des fêtes de fin d’année indiquent une croissance du même ordre soit 22% d’augmentation pour un chiffre d’affaires total de 6,1 milliards d’€ (contre 5 milliards l’an dernier).

Médiamétrie/Netratings a en outre mesuré l’indice de satisfaction des acheteurs en ligne. Avec à la clé ce chiffre éloquent : 97% d’entre eux sont satisfaits de leur achat. De quoi mettre un peu plus la pression sur les canaux de distribution classiques.

*La Fédération du e-commerce et de la vente à distance, créée en 1957, fédère aujourd'hui plus de 465 entreprises et près de 700 sites internet. Elle est l’organisation représentative du secteur du commerce électronique et de la vente à distance. La Fevad a notamment pour mission de recueillir et diffuser l’information permettant l’amélioration de la connaissance du secteur et d'agir en faveur du développement durable et éthique de la vente à distance et du commerce électronique en France.

Plus d’infos sur ce site : http://www.fevad.com/index.php?option=com_content&task=view&id=625&Itemid=1008